Latest Posts

Voici une émission enregistrée la semaine passée et traitant majoritairement de PodCamp.

Les partis politiques canadiens sur Twitter, la bière Pomegranate Wheat de la brasserie Amsterdam donnée par Scarborough Dude, Daniel Lanois.

PodCamp Montréal, organisé par: Sylvain Grand’Maison, Julien Smith, Bob Goyetche, Jean-François Blais, Laurent LaSalle, Laurent Maisonnave, Hugh McGuire, Harold Boeck, Michelle Sullivan, Mitch Joel.

Commanditaires: Canoe, blubrry, Radio-Canada, TwistImage, Akoha, Cakemail, CNW Telbec, POW! Right between the eyes!, Craie, FixionMedia, OneDegree, Griffin.

Vidéo des conférences de PodCamp par VidéoPresse

Audio des conférences de PodCamp par Simon Roy de Ouèbe Musique
WiFi par Ile Sans Fil
Conférences des Beaux Réals Roux, Bruno Guglielminetti, Michelle Blanc, Laurent Maisonnave, Lada & Georges, Sylvain Carle, Michel Dumais, Alexandre Enkerli.

Délégation de Seesmic: VinVin, Alicia l’américaine, Tracy Apps, Wanker Girl, Miss Something, Rob Blatt.

La fin du PodCamp au Bénélux avec Laurent Lasalle, Scarborough Dude, Alexandre Enkerli, Katherine Matthews & Rob Lee.

Lancement de fono.ca au podcamp.

PodMtl
Le jeudi 23 octobre à 19h30
Au Sergent-Recruteur
4801 boulevard Saint-Laurent

Entrevue avec Nora Young de la CBC pour le podcast Spark. Visitez le podcast Jim Dupree enthusiast de son collègue Dan Misener.

Le podcast de La Presse sur le boulevard Saint-Laurent.

Lisez mon article sur le podcast de La Presse sur fono.ca

Studio Quebec Balado

J’ai été interviewé la semaine passée sur Spark, un podcast de la CBC traitant de technologie et animé par Nora Young. L’entrevue a été réalisée à la suite de la parution d’un rapport notant des différences dans l’utilisation de l’internet entre anglophones et francophones.

Cette entrevue a été enregistrée en « double-end », c’est-à-dire que nous discutions au téléphone et que chacun enregistrait son bout de la conversation. Le but étant d’obtenir la meilleure qualité audio possible. Malgré que la qualité était présente de part et d’autre, ça ne sonne pas tout-à-fait comme une conversation face à face puisque nos équipements respectifs sont extrèmement différents.

Pour plus de détails sur l’entrevue, allez faire un tour sur fono.ca. C’est un nouveau site lancé lors de PodCamp Montréal où je partage mes expériences personnelles et professionnelles en rapport avec le podcasting et la création de contenu.

Si vous désirez contacter Sylvain pour un projet de baladodiffusion, pointez-vous sur fono.ca.

Play

Michel Dumais de l’émission Citoyen Numérique m’a invité à venir parler de PodCamp Montréal sur la Radio de CIBL demain, soit jeudi le 4 septembre.

Seront présents à l’émission:
Daniel Drouet d’Île sans fil, Laurent Maisonnave et Martin Lessard discuteront de WebTélé, Cyrille Béraud, v.p. de Facil ainsi que moi-même, Sylvain Grand’Maison de PodCamp Montréal.

Rebranchez votre radio (le bidule qu’on utilisait pour écouter des émissions avant l’invention du PodCasting) et syntonisez le CIBL 101.5 FM ce jeudi 4 septembre 2008 entre 13H00 et 14H30.

Si vous habitez à l’extérieur de Montréal, vous pouvez aussi écouter Citoyen Numérique en streaming.

J’ai attrappé la TAG! et je l‘ai attrapé de Dave Delaney, un torontois établi à Nashville qui travaille dans le domaine des médias sociaux. Le principe est simple. On tag 6 individus et ceux-ci doivent nous révéler 6 choses surprenantes sur eux, puis refiler la tag à 6 autres victimes et ainsi de suite.

1- J’étais parfaitement ambidextre jusqu’à l’âge de 7 ans environ. Je changeais de main pour dessiner ou écrire, lorsque j’avais les doigts endoloris. Puis mon professeur de 1è année m’a forcé à choisir, car selon elle, on ne pouvait pas être à la fois droitier et gaucher. Maintenant je suis droitier, mais j’ai une certaine facilité à utiliser le côté gauche.

2- Mon ancêtre qui a eu la sale tâche de demander aux acadiens de se rendre après la capitulation de Montréal en 1760. La France avait abandonné définitivement la colonie de la Nouvelle-France, et les anglais menaçaient de déporter les Acadiens. L’intendant Murray a alors envoyé un ancien capitaine de milice de l’armée française défaite, Jean-Baptiste Guillot dit Grand’Maison porter le message. Il avait combattu en Acadie quelques années auparavant et marié une acadienne, ce qui le rendait plus sympathique aux yeux des Acadiens. Pour tenter d’éviter la déportation (le grand dérangement) à ceux qui ne voulaient pas porter allégeance à la couronne britannique, il a conclu avec plusieurs familles ce que l’on a appelé plus tard “le grand arrangement”. Grâce à ses contacts, il a pu aider plusieurs familles à venir s’établir au Québec et éviter la déportation. Mince consolation à la tragédie des Cadiens (Cajuns).

3- J’ai fait le design de deux centre de glace de la LNH: Toronto et Montréal. Lorsque je travaillais pour une certaine grande agence de communications canadienne, nous avions Air Canada et Bell comme client pour le design graphique et le branding. À l’aide du guide de normes de la ligue nationale, j’ai d’abord défini comment apparaîtrait AIR CANADA CENTRE autour du cercle central. L’année suivante alors que j’avais à bâtir l’identité graphique du Centre Bell, j’ai fait la même chose. Commentaire de la ligue nationale: Original! C’était la première fois qu’un logo d’aréna était répété 3 fois autour du cercle. Depuis, d’autres ont fait la même chose. Je suis probablement le seul designer qui a fait 2 centres de glace de la LNH.

4- J’ai vu Drew Barrymore au musée Guggenheim de New York. Non, je n’ai pas pris de photo d’elle, je ne suis pas un groupie. Je m’avançais pour voir les photos de Frank Lloyd Wright de l’exposition sur la construction du musée Guggenheim et je croise un petit bout de femme avec de jolis yeux. Quand je suis passé à côté d’elle, elle m’a souri et c’est alors que je l’ai reconnue. Je lui ai souri à mon tour, un peu surpris de voir en chair et en os ce «fantasme d’adolescent». Plus tard, mon fils et moi nous sommes amusés à danser sur une installation artistique sonore, où un plancher lumineux créait des motifs aléatoires au son de la musique. À un moment, nous dansions seuls et je me suis rendu compte que les gens à l’étage supérieur prenaient des photos de nous. J’ai levé la tête, pour voir que Drew était affairée sur sa caméra. Quand elle a vu que je regardais, elle a levé la tête au dessus de sa caméra avec un large sourire et ces yeux rieurs que l’on reconnaitrait sur n’importe quel écran de cinéma. Non, je n’ai pas pris de photo de Drew Barrymore; c’est elle qui a pris une photo de moi!

5- Je suis passé du tricycle au vélo en une journée. C’était la fête de mon cousin qui a le même âge que moi. Il venait d’avoir un vélo à 2 roues pour son anniversaire (4 ou 5 ans, je ne me rappelle plus). Je n’avais jamais essayé d’en faire. Lorsque tout le monde fut entré à l’intérieur, j’ai pris le vélo et je me suis pratiqué. Je suis tombé plusieurs fois, mais après quelques essais j’y suis arrivé. Même aujourd’hui, j’apprends très vite et souvent par moi-même.

6- J’ai déjà rencontré René Lévesque. J’avais peut-être 7 ou 8 ans. Il y avait un souper bénéfice avec le Premier Ministre à Rivière-Ouelle, le village voisin de celui où j’habitais. Il s’était déplacé parce que ses ancêtres étaient natifs de ce village, et son père était né et avait grandi dans mon village, Saint-Pacôme. (Ma mère est aussi une Lévesque et nous avons les mêmes ancêtres) Après avoir soupé, je jouais avec d’autres enfants et il est passé à côté de moi puis m’a mis la main sur la tête, comme on le fait parfois aux enfants. Ce qui me fait dire que quand j’étais petit, j’ai peut-être été baptisé par le curé. Mais j’ai été béni par Lévesque!

Voici les 6 victimes à qui je refile la tag:
Scarborough Dude, Isabelle Lopez, Julien Smith, Neil Gorman, Michelle Blanc, Hugh McGuire

6 règles à observer:
1. Faire un lien vers la personne qui t’a taggué (moi!)
2. Inscrire les règles sur ton blogue
3. Écrire 6 choses que les gens ne savent pas sur toi
4. Tagguer 6 personnes à la fin de ton billet
5. Faire savoir à ces 6 personnes que tu les a tagguées
6. Faire savoir à celui qui t’a taggué lorsque tu as écrit ton billet

———

I’ve been TAGged by Dave Delaney. If you don’t know Dave, he had many podcasting projects and he’s a social media king. He’s from Toronto but lives in Nashville. The principle of that tagging thing is simple: You tag 6 people and they have to unveil 6 things people don’t know. Then those people have to tag 6 other people that will do the same. Endlessly.

1- I was perfectly ambidexter until age seven, when my teacher forced me to choose. At that time, I could do anything with both hands and it’s still easy to do a few things with my left hand. I’m a right-handed now.

2- My ancester had the task to ask the Acadians to stop fighting the English army. France had just definitively dropped the Nouvelle-France from it’s plans and Murray asked (read forced) my ancestor to go to Acadia to calm things down. Some Acadians refused to become part of the british empire, so with his contacts, Jean-Baptiste Guillot dit Grand’Maison helped them to establish in Québec and escape from deportation. It was his modest contribution to try to reduce the Cadian (Cajun) trajedy.

3- I did the design of 2 ice center from the NHL: Toronto and Montréal. I worked for a great canadian communications agency and we had Air Canada and Bell as clients for branding and design. One year I’ve been asked to decide how would look AIR CANADA CENTER around the circle while respecting the NHL graphics standards. The following year, as I was working on the Bell Center branding, I did the same thing for the great Montréal arena. The feedback I recieved from the NHL: Wow, it’s the first time that anybody repeated the logo 3 times around the circle. Since then, other arenas did it too. But I probably remain the only designer who designed two NHL ice centers.

4- I saw Drew Barrymore at New York’s Guggenheim museum. When I saw her, she just smiled gently, then I recognised her and smiled back. Later, I was dancing alone with my little boy on an artistic installation made of a luminous floor producing shapes to the sound of music. People were taking pictures from the upper level and I looked up to see Drew holding a camera. She looked over her camera and made me the most beautiful smile. No I didn’t take any picture of her. SHE took pictures of me.

5- I switched from tricycle to bicycle in one day without little wheels. It was my cousin’s birthday and he had a bicycle. I was shy because I had never tried a bicycle. So when everybody was inside the house, I took the bicycle and practiced until I could ride it by myself. Even today, I easily learn stuff by myself.

6- I met René Lévesque when I was about 7 or 8. There was a supper in the village beside where I lived, where he had been invited as a special guest. He partly accepted because his ancestors came from that place (Rivière-Ouelle) and his father was born and raised in my village (Saint-Pacôme). After the supper, I was playing with other kids and he just watched us and put his hand on my head as adults sometimes do to kids. My mom is also named Lévesque and we share the same ancestors.

Now I have to tag my own 6 victims:
Scarborough Dude, Isabelle Lopez, Julien Smith, Neil Gorman, Michelle Blanc, Hugh McGuire

Here are the rules:
1. Link to the person who tagged you.
2. Post the rules on the blog.
3. Write six random things about yourself.
4. Tag six people at the end of your post.
5. Let each person know they have been tagged.
6. Let the tagger know when your entry is up.

Nicolas Sarkozy et Louis de Funès

Le président français Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, la bière l’Infernale de la brasserie le Grimoire, le micro Electro-Voice RE27, Le iPhone2, PodMtl, Podcasters Across Borders, le groupe Nightwood et son superbe vidéo, entrevue avec Laurent Maisonnave.

Joignez-vous au groupe FaceBook de QuébecBalado
Visitez mon profil sur FaceBook
Suivez mes Tweets sur Twitter
Envoyez-moi vos commentaires par courriel
Téléphonez au 1 206 350-0554 pour faire un commentaire audio.

Le carburant de la semaine:
La bière l’Écossaise de la micro-brasserie l’Alchimiste

Les écouteurs A8 de Bang & Olufsen

PodMtl
Le jeudi 29 mai 19h30 au Sergent-Recruteur 4801 St-Laurent
Thème: Trouver le sujet de son podcast et le faire évoluer
Inscrivez-vous sur FaceBook

Les sources de musique Podsafe:
Jamendo, Podshow (maintenant Mevio), Ioda Promo Net, GarageBand, Magnatune, MySpace

Le guide légal de la baladodiffusion:
Pour les États-Unis
Pour le Canada

PodCamp Boston édition 3

Migrations
Concours de courts métrages et de balados de Radio-Canada International

Joignez-vous au groupe FaceBook de QuébecBalado
Visitez mon profil sur FaceBook
Suivez mes Tweets sur Twitter
Envoyez-moi vos commentaires par courriel.
Téléphonez au 1 206 350-0554 pour faire un commentaires audio.

Pour ceux qui étaient du dernier PodMtl, vous vous souvenez peut-être que j’avais apporté avec moi une copie papier du Podcasting Legal Guide for Canada.

Creative Commons avait lancé ce guide pour le marché américain en 2006 et voila que des juristes canadiens s’étaient mis à la tâche pour produire un guide répondant aux lois Canadiennes.

Le Podcasting Legal Guide for Canada a été présenté officiellement à Podcasters Across Borders en juin 2007 et il est accessible sur le web en version électronique. Vous pouvez aussi télécharger le document en version PDF à partir de cette page.

Malheureusement, aucune version francophone n’est prévue pour le moment.

PodCampBoston3

PodCamp Boston en est cette année à sa 3ième édition; c’est là que les PodCamps ont commencé et c’est là où vous retrouverez à leur meilleur les co-organisateurs Chris Brogan et Christopher S. Penn.

Après avoir connu la folie des grandeurs avec la deuxième édition, l’événement revient à une taille plus humaine. L’inscription est ouverte pour 500 participants. Les organisateurs attendaient 1500 personnes lors de l’édition 2 alors qu’un peu plus de 700 personnes se sont présentés. Ils se sont alors retrouvés à gérer plusieurs problèmes de front : des salles un peu trop grandes pour le nombre de participants, des T-shirts de l’événement en surplus, des conférenciers qui ne se sont pas présentés (ans avertir!) et des commanditaires qui ont réduit leur chèque en fonction du nombre de participants absents.

Les deux Chris ont appris de cette expérience et ont décidé d’abolir la règle de gratuité absolue pour les PodCamps, règle qu’ils avaient eux-même mise de l’avant. L’inscription à PodCamp Boston 3 coûte 50$ et c’est une excellente nouvelle. Comprenez-moi bien; je suis un apôtre de l’accessibilité mais lorsque cette même accessibilité met en péril un évènement comme celui-là, supprimer la gratuité devient inévitable.

Tout d’abord, PodCamp devient un évènement sérieux. C’est vrai; lorsque l’on a à payer pour quelque chose, on accorde plus d’importance à cette chose. Deuxièmement, les participants qui se désisterons le feront à l’avance pour récupérer leur mise et retireront leur nom de la liste. Cinquante dollars ce n’est pas énorme mais c’est amplement pour faire mal au porte monnaie. Troisièmement, les conférenciers seront présents. Lorsque l’on sait que les gens ont payé pour nous entendre, il est plus que probable que l’on se pointe au rendez-vous, ou que l’on avertisse les organisateurs si nous ne pouvons pas y être. Dernièrement, les commanditaires seront rassurés car le nombre de participants inscrits reflètera le nombre de participants réels.

Malgré la proximité de Boston, malgré que j’affectionne les évènements de podcasting, et malgré que Boston doit être magnifique en juillet, je serai absent de cette édition-ci de PodCamp Boston. Pourquoi? Parce que l’évènement a lieu moins d’un mois après Podcasters Across Borders où je ferai une conférence et surtout, parce que je serai en plein milieu de mes vacances. Par contre, je conseille à tous les podcasters d’assister à un PodCamp, et tant qu’à assister à un PodCamp, pourquoi ne pas se payer l’original?

Chris Brogan

Interview with PodCamp co-founder Chris Brogan recorded last February at PodCamp Toronto.

Send me a comment by eMail or
Dial 1 206 350-0554 for an audio comment.

Entrevue avec le co-fondateur de PodCamp Chris Brogan, enregistrée lors de PodCamp Toronto en février dernier.

Envoyez vos commentaires par courriel.
Téléphonez au 1 206 350-0554 pour faire un commentaires audio.

ZOOM H4

Il n’y a rien comme utiliser l’équipement de quelqu’un d’autre pour prendre conscience des qualités (et des défauts!) de son propre équipement. Et utiliser cet équipement de façon active, c’est-à-dire pendant plus que cinq minutes dans un magasin, aide aussi à se faire une idée. Si vous avez déjà emprunté la voiture de votre beau-frère pour un week-end vous comprenez ce que je veux dire.

J’ai eu dernièrement entre les mains quelques enregistreurs numériques similaires au H4, entre-autres lors d’un workshop sur le podcasting que j’ai animé. Même si j’ai désiré certains de ces modèles pour leur portabilité et même songé à changer le ZOOM, ce n’est plus le cas maintenant.

Premièrement le ZOOM a la qualité de son défaut ou le défaut de sa qualité: il a beaucoup d’options. Trop diront certains qui trouvent l’interface difficile à gérer. C’est qu’on pourrait appeler un enregistreur multi-segment, pour continuer dans l’analogie automobile. Il est destiné tant au groupe de musique de garage qui désire enregistrer en multi-pistes (4 au total), à celui qui veux capturer l’ambiance d’un lieu ou un concert en stéréo (grâce aux micros intégrés) ou pour faire du podcasting. Avoir trop d’options ne m’a jamais causé problème puisque que l’enregistreur est versatile. L’inverse est généralement plus frustrant.

Mais quelles sont ses options qui sont utiles au baladodiffuseur me demanderez-vous? Elles peuvent toutes l’être à un moment ou à un autre vous réponderai-je. L’appareil possède deux entrées combinées, c’est-à-dire XLR pleine grandeur pour brancher votre micro favori et 1/4 de pouce pouvant servir soit pour brancher encore une fois un micro ou un instrument de musique. Le plus spectaculaire est que ces deux entrées fournissent le +48 volts de puissance fantôme (phantom power) que peuvent demander certains micros. Il possède aussi une sortie pour écouteurs et une sortie ligne 1/8 de pouce ainsi qu’un branchement USB. Ha oui, il y a aussi les deux micros intégrés placés en Y qui peuvent servir si on ne veux pas avoir à se promener avec des micros et des fils supplémentaires.

Là où l’appareil se démarque vraiment c’est au niveau des filtres sonores. Il possède tout d’abord un limiteur de fréquences qui évite l’écrêtage si le niveau sonore enregistré est trop fort, ce qui évite de suralimenter l’appareil et produire un son inutilisable. Il possède aussi un filtre «low-cut» qui coupe les fréquences trop basses, ce qui peut aider à faire disparaître le bruit ambiant de la ventilation par exemple. Ce sont les deux filtres les plus utiles et dont je me sert assez souvent, suivi du compresseur. On peut aussi naviguer dans les menus pour utiliser les simulateurs d’amplificateurs, d’écho et autres artéfacts pouvant être utiles au musicien… ou au podcaster sachant les utiliser de façon créative.

Le H4 fonctionne sur deux piles AA, accepte les piles rechargeables ou peut-être utilisé avec l’adaptateur de courant. Pour ce qui est de l’archivage, il accepte les cartes SD mais peut aussi servir de carte de son pour enregistrer directement sur l’ordinateur à l’aide d’un câble USB. Il enregistre directement et MP3 pour une mise en ligne rapide mais aussi en .WAV qualité CD (44.1 kHz à 16 bits), qualité enregistrement studio (48 kHz à 24 bits) ou en qualité haute définition (96 kHz à 24 bits). On ne peut faire mieux.

Regardons maintenant les défauts car il y en a. Premièrement la taille. Oui, il est portable mais on aura besoin de grandes poches ou d’un sac pour le transporter. Comparé à un iPod, il a environ la même largeur, 1 fois et demi la longueur mais 3 ou 4 fois l’épaisseur. L’extérieur est en plastique, il a l’air un peu fragile mais je l’ai trimballé depuis 1 an sans l’endommager. Le seul hic côté fonctionnalités, et je m’en suis rendu compte lorsque j’ai eu à y brancher un mélangeur (après un an d’utilisation), c’est l’absence d’entrée ligne stéréo à 1/8 de pouce. Ce qui peut être contourné avec un fil qui divise le signal en 2 canaux mono 1/4 de pouce.

Le plus important est la qualité audio et elle est au rendez-vous. Selon mes propres tests et ceux que j’ai entendus sur le web, il vous faudra débourser plus de 1000$ pour le seul autre enregistreur «portatif» avec des prises de micro XLR. Et rares sont les enregistreurs numérique dont la qualité surpasse celle du H4 dans la même gamme de prix. Je l’ai payé 360$ plus taxes l’an passé et vous pouvez probablement l’obtenir pour un peu moins maintenant. Si vous voulez enregistrer à l’aide d’un micro externe et que l’achat d’un H4 dépasse votre budget, ne vous tournez pas du côté de son petit frère le H2, faites plutôt des économies pour vous procurer le H4 car vous risquez d’être déçu. Le H2 génère beaucoup de bruit à l’enregistrement lorsqu’on utilise l’entrée microphone externe, tellement qu’il est difficile à corriger la situation à l’aide de l’égalisateur du logiciel d’édition. Par contre, ce bruit est presque inaudible lorsqu’on utilise les micros internes du H2, ce qui me fait dire que le H2 doit être utilisé pour ses micros internes seulement… ou avec son entrée ligne.

Comme vous l’avez vu le H4 n’est pas parfait, mais c’est l’appareil qui se rapproche le plus de la perfection… ou de mes besoins à tout le moins.

iPodMoney

Lorsque je raconte à des gens que je fais du podcasting, bien souvent, la première question qu’on me pose est qu’est-ce que c’est? Lorsque la question du «quoi» est réglée, la question suivante traite toujours d’argent. Que ce soit pour me demander combien d’argent je fais avec le podcasting ou si je gagne ma vie à le faire, la plupart des gens croient que je tire des revenus de mon passe-temps préféré. Ce qui, vous l’aurez deviné, n’est pas le cas.

Le mythe du baladodiffuseur qui fait de l’argent est persistant car les gens se réfèrent au métier d’animateur de radio traditionnelle pour comparer. Ils oublient que la baladodiffusion est un média en développement, que ses modèles d’affaires ne sont pas encore pleinement définis, que le bassin d’auditeurs n’est pas aussi important que pour la radio hertzienne et surtout, que la connaissance du médium de la part du public en général n’est pas aussi grande qu’on le croit. Ha oui, il y a aussi que plusieurs auditeurs se contentent d’écouter la version baladodiffusée de leur émission de radio préférée et ne s’aventurent peu ou pas du côté du «vrai» podcasting, c’est-à-dire celui produit par les indépendants.

LES MODÈLES D’AFFAIRES EXISTANTS
Quelques modèles d’affaires et de revenus sont déjà en place et une grande quantité de ceux-ci viennent du côté des États-Unis. Les américains sont toujours les plus rapides pour bâtir une structure rentable et ainsi rendre viable un médium de communication. En voici quelques-uns.

L’insertion publicitaire institutionnalisée
Quelques services ou réseaux de podcasting proposent de l’insertion de publicité au début ou à la fin des émissions disponibles en baladodiffusion, tels que PodShow (la compagnie du «PodFather» Adam Curry) ou Talkshoe. Pour ce faire, il faut généralement archiver ses fichiers audio sur les serveurs de l’entreprise, lesquels font l’insertion automatique de publicité au début et/ou à la fin du fichier audio. L’archivage sur des serveurs dédiés permet d’obtenir des statistiques plus précises sur l’auditoire. Pour être rémunéré, il faut cependant se conformer à certains standards fixés. Pour Talkshoe par exemple, il faut que le fichier audio soit téléchargé plus de 1000 fois durant les 7 premiers jours de la mise en ligne, exigence que plusieurs podcasts ne rencontrent pas.

Le placement publicitaire à la pièce
Semblable au précédent dans le fait que ça demeure du placement publicitaire avec insertion de segment audio dans une émission en baladodiffusion, il diffère par contre dans le fait que l’insertion est faite manuellement par le podcaster lui-même. Alors que pour l’insertion institutionnalisée, les contrats et redevances publicitaires sont négociés par une entreprise, le placement à la pièce est négocié directement par le podcaster. À moins d’être approché directement par une compagnie intéressée à faire du placement publicitaire, cette méthode peut prendre beaucoup de temps dans la vie du podcaster voulant tirer un revenu de cette activité. Par contre, un contrat à moyen ou long terme peut-être rentable selon la taille de l’audience. Il faut aussi pouvoir fournir à l’annonceur des statistiques de téléchargement précises, ce que des services d’archivage de fichiers audio tels que LibSyn peuvent nous permettre de faire.

L’affiliation à un produit ou service
Souvent comparée à de la publicité «déguisée», l’affiliation à un produit ou service peut-être dangereuse pour la crédibilité du baladodiffuseur. Dans ce cas, la transparence est de mise. C’est généralement la compagnie désirant promouvoir un produit ou un service qui approche le baladodiffuseur. En échange du produit ou service en question (et moyennant parfois quelques dollars) le podcaster est invité à discuter du produit à son émission. Je conseille aux podcasters de dire d’emblée que ce produit à été fourni par une compagnie. Les auditeurs font confiance aux podcasters indépendants pour leur liberté de choix et de pensée, personne ne voudrait briser ce lien pour le dernier modèle de tablette internet de Nokia, pas vrai?

Les publicités contextuelles
Insérées automatiquement dans votre blog par un service tel qu’Adsense de Google, ces publicités peuvent fournir un revenu d’appoint et peut-être payer les frais d’archivage de vos fichiers audio. Il ne faut cependant pas s’attendre à la manne car contrairement à un blog traditionnel, celui d’un podcaster est consulté par un faible pourcentage de l’auditoire. Le secret est d’écrire régulièrement et de partager du contenu unique sous forme de texte que l’on ne partage pas dans son émission. Petit à petit, on peut se bâtir un lectorat respectable qui, l’espère-t-on, cliquera allègrement sur les publicités. Le hic est que, ces publicités sont de moins en moins efficaces car l’internaute en fait abstraction en consultant une page, et le taux de paiement par clic est plutôt faible. C’est le seul modèle de revenus que j’ai tenté pour l’instant et ce n’est pas ce qui paie mon loyer. Pour Google Adsense, il faut atteindre 100$ de revenus avant d’obtenir un premier chèque, chose que j’attends toujours après 1 an et demi de publicités sur mon site.

L’affiliation à un réseau de blog
Tandis qu’ils sont presque inexistants du côté francophone, les réseaux de bloggers fonctionnent assez bien du côté anglophone, si bien que certains bloggers gagnent leur vie à écrire. Encore une fois, la régularité est de mise, mais aussi la qualité. Seul le contenu de premier ordre passe la barre et peut vous permettre de toucher quelques dollars. Souvent pour ces réseaux, les publicités générant ces revenus sont négociées avec par le réseau avec des annonceurs et ont un lien direct avec le sujet discuté. Quelques réseaux de podcasts fonctionnent de cette façon, mais bien souvent le podcaster n’est pas consulté lorsque son contenu est intégré au réseau, surtout lorsqu’il est diffusé sous une licence Creative Commons.

Les dons
Certains podcasters mettent ce que l’on appelle en anglais, un «Tip Jar» ou si vous préférez, un «récipient à pourboires». Souvent propulsé par PayPal, ce Tip Jar permet aux auditeurs de laisser quelques dollars pour encourager le baladodiffusieur. Certains préfèrent les dons en un seul versement tandis que d’autres proposent un prélèvement automatique mensuel. Souvent de 2 ou 5 dollars par mois par auditeur, ça peut-être encourageant à première vue mais seulement un très faible pourcentage des auditeurs donnent de cette façon.

La marchandise
Des services comme CafePress vous permettent d’afficher votre logo sur des produits dérivés fabriqués et livrés à la pièce. Lorsque vous mettez de l’avant une boutique CafePress, un pourcentage des revenus vous est retourné ce qui ajoute à l’ensemble des «balado-dollars» que vous pouvez amasser. Encore une fois, à moins de produire des T-shirts spectaculaires, bien peu d’auditeurs se procurent cette marchandise. En 1 an, un ami a réussi à vendre 3 T-shirts et quelques babioles. Pas le Pérou dites-vous mais tous les dollars sont les bienvenus pour celui qui désire gagner sa vie en faisant du podcasting.

LE SECRET?
Pour réussir à amener un podcast dans la voie de la rentabilité, quelques aspects sont à considérer:

Produire son contenu en anglais
La plupart des gens sur le globe ont à tous le moins quelques notions d’anglais. On parle d’un bassin d’auditeurs potentiels qui fait quelques milliards alors qu’au plus quelques centaines de milions de gens connaissent le français. Si l’on considère que le podcasting est aussi mieux implanté chez les anglophones du monde, c’est une voie à considérer.

Avoir un sujet qui plaît
Trouver un sujet assez spécialisé pour se différencier mais assez «grand public» pour attirer le plus grand nombre possible d’auditeurs vous aidera. L’éternelle difficulté est de trouver LE sujet. Si on désire faire du podcasting comme hobby, on peut choisir n’importe quel sujet sans se soucier du nombre d’auditeurs mais le baladodiffuseur «de carrière» voudra toucher le plus grand nombre de personnes possible et ainsi courir la chance de faire quelques dollars au passage.

La régularité
J’en parle beaucoup mais c’est la clé pour obtenir un bassin d’auditeurs fidèles et croissant. Un des facteurs de désabonnement est le manque de régularité. De plus, vos auditeurs s’habitueront à recevoir leur contenu à date fixe à chaque semaine ou à chaque mois et reviendrons vous visiter de façon régulière.

La durée dans le temps
Un auditoire se bâtit sur des mois en podcasting, voire des années. Persévérer vous aidera au fil du temps à obtenir ces précieux auditeurs.

Utiliser toutes les sources de revenus
C’est la seule façon d’y arriver. Le placement de produit, l’insertion publicitaire, le «Tip Jar», ce sont d’autant de façon d’amener de l’eau au moulin et ainsi atteindre votre but. Et n’oubliez pas, Rome ne s’est pas bâtie en un jour.

EN CONCLUSION
Plusieures options sont là mais il ne faut cependant pas se faire d’illusion; peu voire aucun podcasters gagnent leur vie avec ce médium au Québec et une infime partie réussissent à en tirer un revenu d’appoint substanciel. Mais il y en a! L’important est d’analyser les avenues possibles et d’y mettre toutes ses énergies. À la fin, c’est le temps et votre volonté à atteindre votre but qui fera la différence.

PAB2008

Pour la petite histoire, vous savez peut-être que je suis de ceux qui ont assisté aux deux précédentes éditions de Podcasters Across Borders à Kingston, la première série de conférences sur le podcasting au Canada. Si vous suivez mon émission, vous savez aussi que c’est suite à la première édition de l’événement que je suis officiellement devenu podcaster. Et si vous me connaissez personnellement, vous savez que c’est à Kingston en 2006, assis dans la salle de conférence de l’hôtel Holiday Inn Waterfront que j’ai eu l’idée de produire cette émission.

Non pas que je n’avais pas d’idée de sujet pour produire un podcast auparavant; j’en ai eu au mois mille et une! Du podcast musical de jazz en passant par le design graphique, ma tête s’est mise à bouillonner dès que j’ai découvert ce médium en 2004. J’ai même pensé faire un podcast humoristique pour lequel j’avais créé ce qui est devenu la chanson thème du Québec en Baladodiffusion.

Le PodKetchup que ça devait s’appeler. Je suis arrivé à Kingston en juin 2006 avec une solide idée de podcast humoristique, un logo en béton, une chanson thème qui convenait à la thématique, tout l’équipement qu’il fallait pour fabriquer de l’audio et une tonne d’idées de capsules… puis le Québec en Baladodiffusion m’est tombé dessus sans prévenir. Ma connaissance du médium dûe à une consommation boulimique de balados en tous genres m’a poussé à m’investir d’une «mission» : partager cette passion avec les autres et avec les québécois en particulier. Plusieurs podcasts québécois existaient depuis un bon bout de temps mais aucun ne traitait du médium lui-même. Il fallait que quelqu’un le fasse; j’ai décidé de le faire.

Aller à Kingston c’est pour moi faire un retour aux sources. C’est là que tout à débuté, c’est là que j’ai commencé à faire partie de la confrérie. J’y suis arrivé comme auditeur et j’en suis reparti comme podcaster. L’an passé je suis retourné comme «vétéran», cette année ce sera comme conférencier. Sur quoi portera la conférence? Sur ce que j’ai appris en observant le podcasting depuis quatre ans et en en produisant depuis deux ans. Comme j’évolue dans un milieu professionnel lié à la créativité, vous pouvez vous attendre à un style de présentation peu banal.

Learning from The Beatles que ma conférence s’intitule et n’essayez pas d’en savoir plus; seuls ceux qui se seront sur place le samedi 21 juin prochain auront ce plaisir. Et dieu merci, je ferai mon allocution avant et non après celle de Tod Maffin de la CBC, podcaster de longue date et conférencier professionnel.

Pour connaître le programme complet ou vous inscrire, rendez-vous sur le site officiel de Podcasters Across Borders. Les places sont limitées.

PodMtl

Non seulement est-ce le sixième podmtl mais celui-ci marque la première année d’existence de ces rencontres «organisées» sur le podcasting. Comme vous le savez, les deux dernières éditions avaient une thématique et celui-ci ne fera pas exception. Le fait d’avoir un thème semble plaire à ceux qui veulent démarrer un podcast et sert de point de départ à des discussions qui sont toujours incroyables.

PodMtl s’adresse non seulement aux baladodiffuseurs mais aussi à toute personne s’intéressant de près ou de loin au podcasting… et aux divers sujets connexes. Que ce soit le réseautage social sur internet, les outils de micro-blogging ou l’utilisation du podcasting comme outil de communication corporatif, aucun sujet n’est épargné. Et puisque ce sont les participants qui créent la conversation, venez contribuer aux échanges en apportant votre savoir-faire ou vos questions.

L’événement a lieu :
Le jeudi 3 avril dès 19h30
au Sergent-Recruteur
4801 St-Laurent à Montréal

Thème de la soirée :
La musique et le podcasting
Les droits, les réseaux de musique et les lois sur le droit d’auteur.

Détails sur :
http://podmtl.com/

Inscrivez-vous sur FaceBook à :
http://www.facebook.com/event.php?eid=8330518010

Nerdz

La reconnaissance des gens pour ce que l’on fait est toujours agréable. Que ce soit au niveau personnel ou professionnel, par ses parents, son patron ou sa copine. La même chose est vraie lorsque l’on fait du podcasting.

Quoi que, on ne fait de la baladodiffusion pour la reconnaissance. Je me plait à dire qu’on le fait par vocation, parce qu’on aime le sujet de son émission et qu’on aime le partager avec d’autres gens. Parce que l’on aime le médium aussi. Il y a une forme de magie qui opère lorsqu’on enregistre sa voix et qu’on l’écoute pour la première fois. On a presque l’impression que ce n’est plus nous-même qui parle.

L’audio est magique car il nous transporte, il fait travailler le cerveau. Si l’on entend des cigales dans un segment, on sent presque la chaleur de l’été sur notre peau… quelques autres détails dans l’audio et on se retrouve dans le sud de la France! L’image se compose d’elle-même dans notre tête, qui est assurément différente du lieu où a été enregistré le segment d’audio mais ça ne fait rien; pour quelques méga-octets téléchargés, nous avons voyagé l’espace d’un moment.

Pourquoi je vous raconte tout ça? Parce que j’aime vous parler de ce médium qui me fascine et qui est devenu mon principal hobby depuis deux ans. Parce que lorsque je suis invité par des acteurs des «médias traditionnels» à discuter de la baladodiffusion, ou bien lorsque Le Québec en Baladodiffusion est mentionné dans un article ou à la télé, je me sent privilégié de pouvoir partager cette passion avec un plus grand nombre de gens, et je suis flatté de la reconnaissance que j’obtiens pour avoir cette passion-là.

L’animateur François-Étienne Paré de La Revanche des Nerdz (sur les ondes de Ztélé) a mentionné mon podcast lors de l’émission de la semaine dernière et je l’en remercie. C’est une petite tape dans le dos qui, au même titre que les commentaires des auditeurs, me fait poursuivre mon élan pour continuer.

Comme je tiens à le partager avec ceux qui m’écoutent et me lisent (car c’est surtout grâce à vous si je poursuit l’avanture de la balado!), voici un lien vers le segment de l’émission discutant de podcasting (32.3 MB).

Un épisode sur la route vers PodCamp Toronto avec Sylvain et Laurent Lasalle de Headphones Required/Mets tes écouteurs. On discute de la naissance de la poutine, du restaurant le Roy Jucep, de vieilles téléséries telles que CHiP’s et K2000, du prochain Indiana Jones et plus encore. On parodie le carburant de la semaine. Commentaires de Pierre Journel et de Jessica Sanders. Musique de Jon (Jonathan) Lajoie avec Everyday Normal Guy.

Envoyez vos commentaires par courriel.

Téléphonez au 1 206 350-0554 pour faire un commentaires audio.

Scroll to top